Tuesday, 16 March 2010

Après une nuit mouvementée dans le bus, et seulement quelques minutes de sommeil, nous avons commencé à visiter Livorno. Notre premier arrêt s’est effectué au Lungomare. L’activité proposée par les professeurs consistait à observer et analyser la ville. Et plus particulièrement, dissocier les éléments naturels, des éléments artificiels. Autrement dit, observer le paysage, déterminer les risques liés à l’industrialisation et à la modernité. Et enfin, réfléchir à d’éventuelles solutions afin de lutter contre les problèmes écologiques qui perdurent.

Dans un premier temps, nous avons admiré le paysage, puis nous nous sommes interrogés sur la présence d’une végétation étrangère au pays, ainsi que sur la présence des industries. Madame Marino nous a accueillis chaleureusement en nous expliquant que la végétation exotique (bananier...) était plus touristique que celle originaire. C’est pourquoi ce type de végétation est ancré dans le paysage. Ces plantations ont déréglés l’écosystème. Par ailleurs, le tourisme à entrainé d’autres problèmes, c’est par exemple le cas de la pollution. Effectivement, la présence de touristes implique un développement économique. C'est-à-dire, la création de commerces et d’industries. Notamment les marchands de glace. De plus, les industries se sont multipliée. Par conséquent, cet élan de modernité représente un danger pour la planète. En effet, les usines rejettent des gaz toxiques en masse qui polluent : cycle de l’eau, faune et flore se voient menacés par l’industrialisation.
Pour conclure, Livorno est incontestablement touché par le dérèglement climatique engendré par le tourisme et la pollution. Et, bien qu’elle soit charmante et appréciée, il faudrait la respecter davantage. Il serait d’ailleurs nécessaire d’utiliser des énergies renouvelable afin de moins polluer, de limiter l’utilisation des industries et protéger davantage la planète. En d’autres termes, adopter une politique écologique

Constance et Audrey

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