Dans le poème « Clair de Lune » de Victor Hugo on peut voir comment la nature est vue par la sultane, emblème du personnage de la femme dans la société musulmane. La femme, pour exprimer ce qu’elle entend, fait appel au moyen qu’elle a : la superstition.
En effet, elle attribue aux djinns (des esprits maléfiques) la responsabilité du bruit sourd qui attire son attention.
Par exemple, le son de la plongée des sacs dans l’eau est interprété comme la réaction des esprits qui jettent des pierres dans la mer. De la même manière nous, quand on arrive à ne pas donner des explications logiques aux événements naturels, on attribue à ces phénomènes des raisons métaphysiques.
A partir de l’origine de l’humanité, les populations ont donné de différentes explications aux manifestations de la nature : il y avait et il y a toujours des peuples qui interprètent les tempêtes et les orages comme une réaction divine. Dans une région italienne, la Toscane, pour expliquer aux enfants pourquoi il y a des tonnerres, on invente l’histoire de « Tonino » et sa femme (qui sont les habitants du ciel) qui se disputent entre eux, en provocant le bruit qu’on entend. Voilà donc comment l’homme utilise une motivation romantique aux événements qui arrive à ne pas s’expliquer scientifiquement, comme Victor Hugo à fait dans ce poème.
Riccardo, Daniela, Alice du Lycée Cecioni
Aleks, Tatiana du Lycèe Ludwig-Erhardt
Thursday, 13 May 2010
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